Chauvinisme décalé...

Notre vedette Belche 

Un subtile mélange de Claire Chazal (si, si regardez bien - surtout dans l'oeil gauche), une touche de Chantal Goya (la perruque un peu plus longue) et un zeste de Claude Maurane... Devinez de quelle vedette je vous parle. Allons, allons, vous ne voyez pas ? Mélanie ! Mais si, Mélanie Picon... enfin Picron : c'est le pseudonyme de Mélanie Cohl. Vous savez, la fille de l'ex chancelier Helmut. Ah pardon, c'est vrai, Helmut, ça s'écrit Kohl. Bon, on peut faire une erreur du moment qu'on le reconnaît.

Il paraîtrait à ce qu'on dit, que c'est une fausse brune. Moi, je l'ai vue après l'Europicron, heu... l'Eurovision. Elle était sur une plage d'Écosse, en maillot à col roulé blanc (ben oui... sur une plage d'Écosse je vous dis) et malgré la couleur du maillot, on ne voyait rien ! Si c'est pas une blonde alors Sandra Kim est italienne.

Quand même. Quelle voix ! Dommage pour ses petits doigts tout boudinés sur le micro et sa taille 52, mais quel organe ! D'ailleurs, elle a gagné l'Europi... l'Eurovision, Mélanie. Non ? Ah Bon, je croyais me souvenir, mais je confonds avec la petite, là... Comment déjà ? Sandrim Ka. Non, je me trompe avec la p'tit'oto. Ah et oui, on me signale que j'ai fait une erreur au premier paragraphe : il fallait lire que Picron... enfin Picon, non... Picron, c'est le pseudonyme de Mélanie Cohl et pas l'inverse comme mentionné. Mais j'ai été induit en erreur parce que je venait de regarder dans l'pos' Adamo qui chantait une chanson de Richardo Cocciante en duo avec Barzotti le mal Loti (le pauvre, il aurait violé une femme consentante qui s'est rétractée et qui, maintenant, porte plainte pour abus sexuel contre sa personne en pointant du doigt l'infâme personnage au cheveu de zizi (1)). Bon, mais rien ne prouve que Barzotti ait eu tort de faire ça. Et puis y en a qui disent qu'en réalité, c'est Dalida qui s'est fait opérer avant de faire croire qu'elle était morte. Alors Barzo, un barjo de la prunette ou un travlo vedette ?

Mais tout ceci nous éloigne de notre sujet. Cet article de fond, très bien documenté comme toujours (d'ailleurs j'étais envoyé spécial de Liège par avion ce jour là), nous mène au Palais des Congrès. Allez, je peux bien l'avouer maintenant. Il y a déjà quelques années, Mélanie en pinçait pour moi. Mais moi, je ne m'intéresse pas aux fausses brunes ; je préfère les vraies blondes. Et dans la petite piscine de l'Holiday Inn, à côté du Palais, elle barbotait en faisant des bulles. Chaque fois que je mettais un pied dans l'eau, elle était là, comme une sangsue. Pendant des années, elle m'a couru après et toujours j'ai su résister à ses avances. Mais elle me harcelait et me demandait sans arrêt "dis oui..." Maintenant, je regrette un peu. Zwan (pas le PDG des saucisses en boîte) l'a mise sur les rails, d'accord. Mais c'est moi qui suis à l'origine de son succès. Les paroles, c'est à moi qu'elle les adressait et qu'elle les adresse encore. Alors je réclame ma part du gâteau, Mélanie Colle, heu... Cohl. A propos, j'espère que tu liras mon article parce que j'ai toujours ton appareil dentaire chez moi. Si tu veux le récupérer... Le chien a un peu joué avec mais on le reconnaît encore : tes initiales sont gravées dessus. Tu te souviens ? Tu le perdais tout le temps quand tu ouvrais la bouche.

(1) Citation reprise à Benoît Poelvoorde lors de la soirée des 15 ans de Radio 21, qui qualifiait ainsi notre gros ami le transfuge de RTLtvi sur notre bonne vieille ReTeBeF, j'ai nommé Baudouin Cartuyvels.

 


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Dernières modifications : 13 août 1998